Le territoire de Fessenheim (68) perd sa Sem de reconversion, mais pas l’espoir de rebondir

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Le symbole franco-allemand de la reconversion du territoire de la centrale nucléaire de Fessenheim (68) fait flop. La Sem Novarhéna, de droit français et accueillant des actionnaires frontaliers allemands à son capital, a été dissoute le 14 octobre… seulement 18 mois après sa constitution, et sans avoir engagé un seul projet en rapport avec son objet social : "la contribution à la réalisation d’opérations d’aménagement et de construction pour la mise en œuvre du projet de territoire post-Fessenheim". Plus précisément, lui semblait promis le développement de la zone d’activités EcoRhéna réservée aux grands projets de réindustrialisation. Or, la réduction de sa surface de 220 à 55 ha au fil des mesures environnementales a amené cette zone à une taille qui a décidé son propriétaire, le Syndicat mixte ouvert (SMO) du port de Colmar-Neuf-Brisach, à renoncer à lancer un appel d’offres, pour passer à un pilotage en régie. "Si l’on avait eu (...)

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